Une religion d’eau
Il y a quelques mois dans l’émission du matin qui
passe sur Antenne 2, une urologue a dit : « Il
n’y a aucune étude scientifique sur l’eau, certes notre corps a effectivement
besoin d’environ 1.5 l de liquide par jour, mais dans nos aliments l’eau est
présente partout, dans la café, la soupe, les fruits et légumes, le pain, la
viande, etc… Et puis toutes ces femmes qui boivent 1,5 l d’eau en plus, cela donne six millions de femmes
qui font pipi dans leurs culottes par incontinence. Qui plus est, cette eau
bousille les reins et la vessie ».
Le
professeur Vincent a démontré qu’on assimile seulement 1% des minéraux présents
dans l’eau, tout le reste ne fait que nous encrasser et donne de l’arthrose, de l’ostéoporose,
etc... Dans des magasins bio, on trouve de l’eau qui est 20 fois moins
minéralisée que l’eau du robinet et 100 fois moins que certaines eaux
minérales. De plus, pour être assimilables, les minéraux doivent se trouver
sous forme colloïdale, c’est-à-dire en particules extrêmement fines. C’est sous
cette forme qu’ils peuvent traverser nos filtres.
Dans un éditorial du magazine Pratiques de Santé
intitulé « Eau secours », on nous explique que dans 30 ans nous serons
confronté à un manque réel d’eau potable suite aux millions de tonnes de
pesticides disséminés sur la planète qui ne font qu’empoisonner l’eau. « Ces produits qu’on appelle gentiment
phytosanitaires sont en train de tuer non seulement les abeilles, mais
l’humanité toute entière à petit feu ».
Jacques Benveniste était un pionnier de la mémoire
de l’eau, Masaru Emoto nous a montré de jolies photos de cristaux d’eau
congelée ayant réagit à des informations données et le Professeur Luc
Montagnier a réussi à faire lire notre ADN par l’eau. Il est donc possible de
montrer que l’eau est vivante, quelle réagit à des informations et qu’elle à
probablement une mémoire transmissible. Pour conforter tout ça, Jacqueline
Bousquet (docteur en biologie et chercheur CNRS) nous explique qu’en fait, on
mange l’information présente dans le produit et que nos dents transmettent
cette info au cerveau. Par ailleurs, pour lire l’information, notre estomac fonctionne
comme le cerveau. Selon certains savants russes, nous sommes des êtres nourris
par l’information, ce qui tendrait à prouver scientifiquement une forme de
spiritualité.
Maintenant, imaginons un verre d’eau du robinet qui
a subit un traitement au sel d’aluminium, remplie d’hormones (selon une émission de FR3, les poissons de
la Seine se féminisent) et de toutes les mauvaises mémoires attenantes aux
médicaments, polluants chimique et autres substances déversées dans l’eau. Ces
mauvaises informations restent dans l’eau malgré les traitements de filtration.
Alors,
qu’elle est la solution si l’on veut garder notre bonne santé ?
Tout d’abord, nous devons abandonner cette
« religion de l’eau » dictée par un modernisme dictatorial. Les
anciens chinois disaient : « il faut boire quand on a soif et il faut
manger quand on a faim » puis ils ajoutaient : « il faut boire ce qu’on
mange et manger ce qu’on boit ». Je pense qu’on peut les croire parce qu’ils ne
payaient leurs médecins que lorsqu’ils étaient en bonne santé. Chez nous, c’est
l’inverse, on paye le toubib que lorsqu’on est malade. A bon entendeur
salut !
Je vous invite donc à consommer en abondance des
fruits et légumes de qualité issus de la meilleure agriculture possible sans
produits chimiques ni mauvaises infos. Vous allez y trouver 80% de l’eau avec en
plus, des sels minéraux et des vitamines. Un fameux dicton conforte mes
propos : « La pomme je la croque et
du médecin je me moque ». Puis il y a le bon vin, la bière bio, les jus de fruits
etc… Personnellement, je ne mange presque que des légumes et des fruits
de mon jardin car cela m’apporte une bonne information (aucune chimie) ainsi
qu’une excellente valeur nutritionnelle (oligoélément, vitamines, minéraux
etc…) contrairement aux produits du commerce souvent cultivés hors-sol par un
arrosage intensif avec ajout d’engrais et de pesticides.
On ne boit pas quand on mange, car on lave la salive
qui compte pour 30% dans notre digestion. A ce sujet, on peut constater que les
gens qui boivent beaucoup ont toujours la bouche sèche ! Nos professeurs en
nutrition nous disent que « saliver c’est la santé ». Quand on a
soif, il faut boire une eau propre, vivante qui n’a accumulé aucunes mauvaises mémoires. Pour se prévenir des
maladies dégénératives et des cancers qui adorent le terrain acide, cette eau
devra être alcaline car on a trop acidifié notre alimentation. Cependant, dans
certains traitements l’eau acide peut avoir son utilité. L’eau peut être aussi
dialytique (dissolution augmentée) et nous verrons qu’il existe aussi l’eau
argentée.
W.Kopec Ostéopathe
OBC, Naturopathe autodidacte en plus de son DESS de Commerce International à la
Sorbonne, Gérant du Dos Agile.